Nessya : Le bonheur entre nous

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Nessaymm

N E S S Y A.

J'étais chez Aïcha, nous étions le lendemain et j'étais juste traumatisé au premier degré.

Hier, vu que j'étais attaché j'ai réussi à prendre mon téléphone qui était dans ma poche arrière pour appeler Adam, qui m'ont localisé avec Hamza qui sont venus me chercher.

Cette fois ci, j'ai pas pu me retenir et j'avais pleurer. C'était tellement traumatisant pour moi que j'en suis terrifié à l'idée de les recroiser.

J'avais tout dis à mes cousins pour qu'ils règle vite la situation sans me mettre dedans car je disais rien que la vérité en disant que je ne savais réellement rien.

Heureusement que nous sommes samedi et que je n'ai pas cours car je pense que je serais quand même aller en cours malgré que je vais mal.

Aïcha n'est pas au courant et je ne voulais que personne sois au courant à part les principales concerné.

Soudainement, je voulais rentrer chez moi après avoir passer la nuit à expliquer en pleure ce qui s'est passé à mes cousins.

Je me lève du salon en partant voir Adam et Hamza dans la cuisine.

Quand je suis arrivé, il était tout les deux entrain de discuter jusqu'à que j'arrive.

Moi : J'pense que je vais rentrer, j'ai encore des devoirs à faire.

Adam : J'viens, j't'accompagne.

Hamza : J'viens aussi.

Je pars donc à l'entrée suivie des deux frères puis je mis mes chaussures.

Hamza : Eh Nessya, ce mec il ressemblait à quoi ?

Moi : Je vous l'ai déjà dis, il avait une capuche je ne voyais pas trop son visage. Je sais qu'il a des yeux de couleurs foncés avec une casquette et des cheveux qui dépassait.

Un blanc s'installa entre nous puis nous sommes sortis de l'appartement, depuis que j'avais pleurer devant eux, je savais qu'il ressentait de la pitié, sauf que moi je ne voulais pas de leur pitié alors je faisais la meuf qui n'était pas touché.

Alors que la soirée d'hier m'a terrorisé.

Adam : Tu penses que c'est Issam toi ?

Hamza : J'sais pas..

On descendis du bâtiment puis on a prit la voiture d'Adam.

J'étais à l'arrière toute silencieuse en repensant à ce qui a pu m'arriver hier.

« et que j'entendes que t'es dis un truc sur moi quelques part, ta vie sera résumée à un enfer »

Bon, Nessya on craint que Allah. Il faut que je me remette en main et faire comme ci rien ne c'était passer.

Moi : Eh.. finalement faite rien, sa n'en vaut pas la peine. Allah s'en chargera.