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XXXVIIII | Intensif

Hunter
Sur la glace, Wisconsin

Quelques semaines sont passé depuis, et les murs se remplissent d'affiches. Le couloir complet, cela éveille une certaine pression.

On entend la glace se fendre. Les entraînements depuis il n'y a pas moins d'une semaine sont plus intenses que les autres.

- Du nerd les garçons! On dirait des vieux papi en promenade de santé! La coupe est infiniment loin si on continue comme ça! Crit le coach.

Prenez ça comme un encouragement.

Mais mes oreilles grinçaient devant tout ces bruits.

Il me paraissait plus exigeant, tandis que ces entraînements étaient plus long, un martyre pour nos muscles qui ne sont plus habitué à autant d'intensité.

Ma grande blonde se portait là, dans un recoin de la glace avec un groupe de rookie. Elle montrait les pas puis ils les effectuaient.

C'était d'une grâce sans nom.

Comparer au poulet qu'est Mike et du poulain qu'est Tim.

Et Ben... un petit chiot.

Mon regard se porte intentionnellement sur elle, dès que sa bouche rosée s'ouvre.

Et je me surprends a demandé ses lèvres.

- Il est onze heure trente... J'AI FAIM! Râle Mike en sortant du vestiaire.

Quelques pas plus tard, nous entendons le fameux gargouillement.

- Je vous l'avez dit!

Un rire communicatif commence, Ben se tient le ventre pendant que Rom se moque volontairement, je me tiens au mur pour garder pied.

- On va accélérer la marche, en avant direction la nourriture! S'engage t'il.

Mon attention se porte sur elle, sortant des vestiaires patins à la main. Une compresse cache cette dernière.

Des questions prennent places.

Je débarque derrière elle, qui sursaute légèrement avant de rire bêtement.

- Tu m'as fait peur cretin! Elle remarque mon regard interrogateur sur sa main. Une erreur d'inattention j'irai à l'infirmerie avant d'aller dans le cour de Mr Primer.

Je suis soulagé d'entendre cette nouvelle.

Ironique n'est pas.

Je crois que je l'ai vu il n'y a pas si longtemps, parler tous les deux à la fin du cours quand je venais la chercher pour aller à l'entraînement du soir.

Pourquoi?

On va dire que j'avais de bonne attention.

Je le toise du regard à chaque rencontre pendant qu'il me sourit. Peut être que je me trompe.. mais cette mauvaise alchimie ne trompe pas, de mauvaises ondes s'émanent de lui.