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Selim : cette pute ? La seule pute que je vois ici c'est toi de parler d'une femme comme sa

J'aime bien son répondant à lui mais ma sœur c'est ma sœur

Selim : elle est où

Moi : chez armin et Amir Saïl

Selim fronce les sourcils

Selim : on échange les rôles tu vas sauver ta sœur et je m'occupe de beau papa

Je regarde Selim puis Mirsad et je baisse mon arme en courant vers la porte d'entrée.

Je me retourne et je vois que Selim a sorti une arme et la pointe sur Mirsad

Moi : Tue le pas

Et je pars en courant
Je veux pas que Mirsad meurt
Si il meurt, je saute aussi, et je laisse Jasmina seule, et sa je veux pas.

Je saute dans la première voiture en espérant que Armin est compris mon accord sinan je promet à Amir une belle mort.

Point de vue de Jasmina

Yussuf : Je te promet de venir te chercher jasmina et de tous les crever un par un même ceux qui ne t'ont rien fait. Je t'aime ma sœur

Et je me suis endormie.

Quand je me suis réveillée, j'étais enfermée à l'arrière d'une voiture, pas dans le coffre mais derrière. Les vitres sont recouverts d'un film qui m'empêche de voir à travers la fenêtre.

J'ai mal à la tête, je vois que j'ai encore ma robe et que j'ai mes talons avec toutes mes affaires. Je me souviens que Armin et Amir m'avait pris de chez moi, mais pourquoi ils m'ont laissée mon sac sa je ne le comprend pas

Moi : LAISSEZ MOI PARTIR

Armin : Tiens princesse est réveiller

Et le voile qui cachait l'arrière de la voiture au devant tombe, je vois enfin la route, je vois qu'il fait nuit et que nous sommes dans des petites routes départementales, en campagne mais où je ne sais pas.
J'arrive pas à me repérer mais ce que je sais, c'est que Paris est loin et que je ne vais pas chez Armin et Amir pour être leur servante mais que je pars loin.
Maintenant le mystère est où et pourquoi ?

Moi : pourquoi tu fais sa Armin

Armin : Je t'aide Jasmina.

Moi : tu m'aides ?

Amir : Pose pas trop de question

Moi : sinon quoi même tu crois que tu me fais peur toi

Si il croit que juste par sa taille il me fait peur il se trompe j'ai déjà tuée des centaines d'hommes bien plus grand et plus robuste que lui

Amir : ferme ta geule

Susceptible

Moi : pauvre bébé pardon je voulais pas te vexé, tu veux un bisous magique - rigole -

Armin : de toi rien se refuse

Connard

Je le calcule même pas un peu lui.

Moi : tu m'emmènes où ?

Armin : chez moi

Moi : prend moi pas pour une conne je sais que tu vas pas chez toi on est loin de Paris

Amir : je savais que t'avais autant de potentielle physiquement mais mentalement j'avoue que tu m'épates.

Fils de pute

Mafia 1 jour Mafia toujours...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant