Mafia 1 jour Mafia toujours...

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Villa Osmanović

8h00

Mirsad : Jasmina dans mon bureau tout de suite !

Moi c'est Jasmina Osmanović, je suis de l'Est donc bosniaque albanaise ( mais plus bosniaque ) , j'ai 19 ans. Au niveau du physique, je suis grande 1m75, au niveau corpulence je suis normale, j'ai des cheveux mis longs dégradés brun et ondulés. J'ai un grand frère de 23 ans, Yussuf Osmanović et mon père Mirsad Osmanović.

Mon frère est grand 1m95 pour 90kg. Il a des cheveux brun avec un dégradé et une barbe toujours très bien taillé.
Mon père, Mirsad Osmanović est bosniaque, grand aussi 1m95 pour une centaine de kg. Il a des cheveux bruns long mais assez raisonnable, toujours coiffé sur le derrière qui deviennent gris à cause de la vieillesse.

On fait tous les 3 partis du gang des Osmanović, un gang très respecté en Europe, dans les Balkans mais surtout en France là où nous résidons.

En ce qui concerne ma mère, elle est décédée quand j'étais petite, c'est d'elle que je suis albanaise. Mon paternel et mon frère ont toujours refusés de me parler de ma mère, et de vagues souvenirs d'elle me sont rester en tête.

J'ai eu, étant petite, une nourrice, Esmée.
Mais quand j'ai grandi elle a quittée la villa à cause de Mirsad qui l'a virée car je devenais trop grande et assez responsable pour avoir besoin de quelqu'un qui s'occupe de moi. Elle était comme ma deuxième mère, c'est celle qui s'est occupée de moi étant petite et qui soignait mes blessures que je me faisais à l'entraînement de mon père.

Moi : j'arrive. Je dois appeler Yussuf ?

Mirsad : Non tu viens seule.

Je me rapproche de la porte de son bureau qui est ouverte. Je pousse plus la porte et tombe sur mon père qui me dévisage.

Je ne parle pas et entre dans son bureau en refermant la porte.

Mirsad : Assieds toi - sec -

Moi : c'est bien ce que je comptais faire

Pour vous expliquer, mon père et moi nous nous sommes jamais entendus.
Il nous a maltraité et entraîné avec mon frère pour devenir de vraies machines à tuer. Nos entraînements étaient très compliqués, il fallait sans cesse être à la hauteur pour ne pas le ridiculiser devant les autres membres du gang.
Si on arrivait pas un exercice ou bien seulement un geste sportif à faire, non seulement on nous tapait mais on nous forçait à dormir dehors et cela même s'il faisait très froid.
Et ce n'est même pas un centième du calvers qu'il nous a fait vivre.
Quand mon frère a commencé a grandir, Mirsad a calmé ses montés de pressions envers lui mais moi, ça devenait pire. Il n'a aucune pitié pour moi et tous les coups qu'il ne peut plus donner à mon frère, il me les donne. Je supporte tous ses moments de frustrations et tout le reste.

Pour le qualifier, mon père est fou.
Mais vous le verrez plus tard dans l'histoire par vous même...

Mirsad : tu commences déjà à me saouler

Moi : je sais - arrogant-

Je suis très très très arrogante, j'aime beaucoup voir son visage changer d'humeur d'une seconde à l'autre.