XV | Avancer

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Hunter

Wisconsin, appartement

Le lit se déforme, elle vient de le quitter, sa place est encore chaude, je sens encore son corps enlacé dans mes bras collés à mon torse.

Nous l'avions fait.

Plus de retour en arrière possible, le mouvement de son bassin à l'effet que lui procurait ma langue sur sa peau douce. Je suis dans un rêve éveiller. Je la désire, je veux découvrir chaque parcelles de son corps idyllique. Je me pensais impossible de ressentir une telle envie juste pour le sexe.

Je suis coupable d'idolâtrer ton corps.

Ton corps est une putain d'oeuvre d'art.

Je traîne encore dans le lit, à cette heure. Soudainement, je la vois apparaitre dans l'embrassure de la porte.

- Tu n'aurais pas des vêtements à me prêter, crétin? M'annonce t-elle avec le surnom quelle a décidé me donner.

- Tu m'appelais pas crétin hier soir? laisse moi réfléchir. Je place rapidement mon indexe sous mon menton pour faire la pose, repensant à sa voix essouffler qui disait mon nom.

Le rouge lui monte, elle me balance l'oreiller positionner sur le lit, pendant que je l'attrape pour lui aborder un sourire matinal.

- Ce qui c'est passer cette nuit reste entre nous, puis c'était pas si excellent que ça..

Je fronce un sourcil, puis rit à gorge déployé si accepter la vérité est un péché alors toi tu es un ange déchu Smithy.

- Hum, commence ma vois roque, je me souviens t'avoir entendu gémir à plusieurs reprises pourtant.

Elle sourit à son tour.

Pourquoi ne rougis t-elle pas?

- Tu connais la simulation? Sa marche plutôt bien non? Comme Tim la vécu je me suis dis que c'était pas si mal si tu le rejoignais.

La garce.

Tu es la définition parfaite d'une garce, à présent devant elle, mon regard fixé dans le sien. Tu veux prouver ta supériorité? Très bien, mais je vais d'abords te montrer la mienne.

Son regard se dépose rapidement sur mes lèvres, nous n'attendons que ça pourtant aucun de nous ne fais le premier pas. Je reste planter comme un piquet sentant nos deux corps totalement brûlants d'impatience.

Mon visage se glisse à son oreille, je lui souffle:

- Ose contredire que ton corps me désire, je parie même que ton jolie petit string que tu portes est à présent trempé de désire.

- Tu n'as qu'à vérifier. Me lance t-elle chuchotant à son tour.

Mes sens sont en éveille, mon érection arrive difficilement à ce cacher dans l'espace pitoyable de mon short.

Je saisie ses hanches afin de rapprocher son corps au point de le coller au mienne pour quelle sente la bosse de plaisir. Elle rit pendant que je suis torturé à l'idée de la faire mienne.

Mes mains descendent de plus en plus bas, jusqu'à sentir le sous vêtement. Je parcours ce dernier arrivant à la partie la plus intéressante, son souffle se coupe.

Tu es trempée pour moi.

Je décale le tissu de son ouverture pour caresser son clitoris, sa tête se pose sur mon épaule, son souffle chaud parcours l'échine de ma peau. Je continue les ronds circulaires, puis je glisse un premier doigt.

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