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• AMAYA •

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XIII. EL SEÑOR GAVIRA ESTÁ CELOSO.

Exactement 2 semaines sont passées depuis le nouvel an, exactement 2 semaines sont passées depuis que Pablo m'a embrassé. J'ai repris le travail il y a 1 semaine.
Il est exactement 8h30 et je sors de chez moi pour rejoindre ma voiture quand j'entends un scooter arriver dans mon allé, je regarde la fameuse personne et vois Jules.

« Jules ? Mais tu fais quoi avec ce scoot ?! », demandai-je sous le choc.
« Je l'ai acheté ce week-end! Je t'emmène aujourd'hui », me dit-il fièrement.
« Je ne suis pas sûr que sa soit une bonne idée Jules... »
« Mais si! Fait moi confiance je conduis comme un dieu »

Je rigole et finis par accepter, il me passe un casque qui était dans le mini-coffre et monte derrière lui, je me tiens à lui et nous partons direction l'hôpital. Arrivé là-bas je pars directement dans la salle où se trouvent toutes les affaires des infirmiers et médecins, je prends ma blouse et c'est l'heure de sauver des vies!
Je passe ma matinée à tourner à droite à gauche, j'en perds presque la tête.

« Amaya, on a besoin de toi! »

Je lève ma tête et regarde, Ana, infirmière. Elle s'approche et m'explique qu'il y a une petite de 16ans qui vient d'arriver avec les pompiers, elle vient d'avoir un accident de scooter. Ça me fait presque frissonner.

« Il faut que tu t'occupes d'elle »

Je me lève et pars dans sa chambre, la 107. J'arrive devant et la voit toute seule, où sont ses parents ? Je rentre dans la chambre, son regard est rivé vers la vitre.

« Bonjour », dis-je en rentrant.

Elle tourne sa tête vers moi et me regarde simplement, j'approche le chariot vers son lit. Je vais lui soigner son genou qui est rempli de sang et de gravier au passage.

« Je m'appelle Amaya, et toi ? »
« Valentina... », me répond cette dernière d'une petite voix.
« Jolie prénom, j'adore! Tu étais toute seule sur ce scooter ? »
« Non, il y avait mon amie, Roxanne, vous savez si elle va bien ? »
« Je ne sais pas mais j'en suis sûr que oui, quelque s'occupe d'elle ne t'inquiète pas »

Je le soigne, quand je finis je mets un pansement.

« Bien, je reviens te chercher dans quelques minutes pour la radio, mais entre nous », commençai-je en frôlant doucement son mollet droit, « C'est bien gonflé et puis ton genou a était bien égratigné, mais on verra mieux avec la radio. Je reviens »

Je sors de la chambre et souffle un bon coup, j'adore mon métier, sauver des vies est quelque chose que j'adore et c'est un rêve depuis petite mais quand je vois ce que je fais sa me retourne le ventre et me serre le cœur. J'aime pas voir les gens dans le mal mais j'ai choisi ce métier pour une seule et unique raison. Sauver des vies.

un nouveau départ | P.G Où les histoires vivent. Découvrez maintenant