Survivre

08. Le coup de grâce

Gage :

- Drew rend moi ce putain de briquet ! Gueule Justin d'un ton froid.

Drew se tape une barre en jouant avec l'objet qui crache du feu, mais cela ne semble pas plaire à notre bad boy Justin.

- Rend lui mec, dit Endel a Drew.

Drew ne répond pas et grimpe les escaliers de mon appartement pour rentrer.

Il est vingt-trois heure et nous allons squatter mon appartement au moins jusqu'à trois heures du matins.

J'ai bien penser à laisser un mot sur l'îlot central avant de partir en cours ce matin. Je demandais à Éyana de mettre mes ordres d'hier à exécution.

Je sais qu'elle ne viendra pas nous déranger parce qu'elle a trop peur que je parles d'elle en mal à ses parents chéris.

J'étais follement énervé hier soir quand elle a pénétré dans ma chambre sans mon autorisation, mais au moins j'ai eu la réponse que je souhaitais.

Mon jeu l'énervais.

Drew ouvre la porte, entre et fait tombé le briquet de Justin dans un bruit sourd.
Nous entrons à notre tour dans la pièce en nous demandons ce qu'il lui arrive.

- Putain mon bri-, commence Justin.

Plus un bruit.

Tous nos regards sont dirigées au même endroit, la cuisine.

La pièce est simplement illuminé par les led rouge placé en dessous des placards de la cuisine.

- Bordel, lâche Aris sans voix.

Je me déteste, mais je suis incapable de détourner le regard.

Éyana.

Elle est derrière l'îlot, une bouteille d'eau à la bouche.

- Elle est réelle ? Demande Endel sous le choque.

Sous la lumière rouge, Éyana bouge lentement son bassin au rythme de la musique forte.

J'ai envie de me percer les yeux, mais mon regard ne peux s'empêcher de pencher vers le bas.

Elle ne porte qu'un faillit débardeur, et un mini short, qui nous laisse une vu assez spacieuse sur ses formes. Ses cheveux son attaché en un chignon légèrement décoiffé.

Je la déteste.

- Détourne les yeux mec ! Rigole Cole.

Je les détourne après quelques secondes et remarque que mes potes, sont aussi submergés que moi.

Et ça me rassure légèrement.

Cole est le seul à ne pas avoir regardé Éyana.

Je fonce vers elle et éteins la musique.

Ses prunelles rencontrent les miennes avec la même haine qui ne disparaît jamais.

- Qu'est-ce que tu fous bon sang ? Je lui demande énervé.

Rien à foutre que mes potes assistent à cette scène, la colère qui montent dans mes veines est incontrôlable.

- Bah j'écoutais de la musique, mais apparemment t'es vraiment décidé à me casser les couilles ! Elle crache.