Chapitre 8.

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Nous étions avachis dans son lit, les membres négligemment sur l'autre. Je serais heureuse de me réveiller tous les matins comme ça. Je rougissais en me rappelant ce qu'il s'est passé la nuit dernière. Mais oh, j'aimerais faire de nouveau cela dans un battement de cœur (?). Le voir comme, vulnérable et dans le plaisir, vous ne vous ennuyez jamais de témoigner. Je n'ai pas dit à mes parents que je partais toute la nuit, mais je doutais qu'ils s'inquiétaient un minimum. Je me blottis dans la chaleur qui émanait de Harry, il était lui-même comme une grande couverture. Je ne voulais pas le réveiller de son sommeil, alors à la place j'étudiais son beau visage.
Il avait l'air d'une toile propre (?), pas une trace de son habituel sourire ou d'une expression agacée était visible. Il était calme, et une petite bouffée d'air était soufflée de ses lèvres rosées à chaque fois qu'il respirait. Dieu, ses lèvres. Elles étaient pratiquement faites pour être embrassées. Je pensais que c'était fou comment cette petite partie de lui détenait un pouvoir immense de prononcer des mots qui pourraient soit; faire ou briser mon jour. Mais même s'il ne voulait pas le dire, je savais de tout ce qu'il m'a dit, que je prenais un cœur. Je manquais la vue de ses yeux verts émeraude comme il dormait, mais il était splendide avec ceux-ci fermaient comme ouverts.
Il était si beau et fort, RTL j'étais effrayée. Non pas juste effrayée, terrifiée. Terrifiée de mon fragile cœur de papier, il pouvait soit le déchirer en lambeaux, ou le guérir et le garder en sécurité. Si je devais rester, je serais prise au piège. Je me serais si investie en lui, que je ne serais pas capable de le quitter même si je le voulais. Je voulais juste un petit fragment de son cœur pour moi-même, et je savais que s'il me rejetait, je devrais subir une perte. La vraie nature de la perte, le genre qui se produit seulement quand vous aimez quelque chose plus que vous-même. Et je savais, je putain de savais, que si je restais, il y avait de fortes chances qu'il m'écrase de tout mon être. Mais mon égoïste de cœur ne voulait pas me laisser partir. Alors, je restais.

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DADDY (HS) VFOù les histoires vivent. Découvrez maintenant