Chapitre cinquante-neuf.

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Coucou, mes poupoules ! Comment allez-vous ? Vous avez passer une bonne semaine ? Avec le jour férié + le pont, je pense que c'est le cas pour tout le monde (enfin, celle qui fait le pont) !

PETITE ANNONCE : Je suis en plein déménagement (ou plutôt) travaux en ce moment et comme j'aide mes parents, je ne sais pas si je pourrais trouver le temps d'écrire. Cette semaine était light donc j'ai pu le faire. Par contre, je commence mon stage lundi, donc je pense pas que je vais tenir encore debout si j'écris de minuit à 4h du mat alors que le lendemain je commence à 9h vu que le soir dès que j'aurais fini mon temps de travaille j'irais aider mes parents.... Bref, tout ça pour dire que je ferais de mon mieux pour continuer à update une fois par semaine !

PS : Mardi j'étais à Paris en voyage scolaire et devinez quoi ? Jeudi sur Instagram, je vois que ARIANA GRANDE a publié une photo de l'arc de triomphe, qui est au passage la rue juste à côté où je faisais du shopping pendant mon temps libre. So, elle est à PARIS. Croyez-moi, j'étais dégoûté. Je me dis que si on aurait organisé notre voyage d'une journée à Paris le jeudi, j'aurais pu genre l'apercevoir ziacnvevevoevkovovovokvk *pleure* Voilà, c'était ma vie! *va se jeter dans une rivière en chocolat* (Charlie la Chocolaterie héhé *sors*).

PS2 : NE REGARDEZ PAS LE MEDIA, NE REGARDEZ PAS LE MEDIA, NE REGARDEZ PAS LE MEDIA, NE REGARDEZ PAS LE ME.... OUPS ? *I can't contain this anymore*

Bon d'accord, je vous laisse tranquille !

Bonne lecture mes ouistitis au caramel ♥

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Quelques mois plus tôt...

« Tu es viré, Avery. » Lança sèchement son employeur sans un 'bonjour' après l'avoir convoqué. « Je savais que tu serais incapable de gérer le métier de fourrière d'automobile. Dire que tu m'as supplié de te prendre à l'essai ! Et c'est comme ça que tu me remercies ?! » S'écria-t-il d'une voix amplis de choc.

« Mais j-je.. Je ne comprends pa... » Il ignore ces messes basses, poursuivant en me pointant du doigt.

« Tu en as profité pour régler tes différends avec monsieur Tomlinson, ici, présent, en embarquant son véhicule qui été parfaitement stationné ! » Ses yeux s'arrondissent de surprise, alors que j'ornai un sourire angélique.

« Monsieur, ne croyez pas cet enfant gâté ! » Cria-t-il, en se levant d'un bond de sa chaise. « Ne voyez-vous donc pas que c'est lui qui profite de sa posi.. » Il leva sa main en l'air pour le faire taire.

« Ça suffit ! J'en ai assez entendu ! » Il pointa la porte de son bureau. « Dehors ! » Grogna-t-il, provoquant pour ma part un éclat de rire.

Avery secoua de gauche à droite sa tête de déception, avant de diriger ses prunelles noisette sur ma personne où il me gratifia d'un regard mauvais. C'est les poings serraient qu'il sortit furibond du bureau de son sup.. Ou plutôt, de son ex-supérieur, en claquant bruyamment la porte. Quant à moi ? Je levai mon pouce face à mon interlocuteur pour le féliciter de sa prestation, avant de lui lancer un clin d'oeil.

« Ce fut un plaisir de faire affaire avec vous. » Je me levai de mon siège, défroissant rapidement mon jean, lançant une lias de billets sur son bureau.

« Moi de même, monsieur. » Je roulai des yeux, en le voyant bondir sur la lias de billets pour les compter.

'L'argent, c'est le pouvoir.'

C'est les paroles que tenaient les amis de mes parents, à chaque fois que je participai à une des oeuvres de charité farfelue de ma mère. Ils ont tort. L'argent n'était pas le pouvoir. Des gravures de symboles sur pièce et des billets imprimantes couleurs ne pouvaient pas diriger un monde, non. Pour ma part, l'argent été juste un pass pour la découverte du monde. Et le fait que des personnes vénèrent ce système de paiement la rendait justement précieuse.

It's pure, it's you. (s l o w  u p d a t e)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant