Chapitre 58

Depuis le début
                                    

-Moi : Arrête de me parler comme si j'étais je ne sais quoi et je t'ai dit que je n'ai pas faim

-Farès : Eh bah crève !

J'hausse un sourcils et il sort en trombe de la cuisine pour s'enfermer  je pense dans la salle de bain

Bordel...

Je ferme les yeux et je passe ma main sur mon visage . Je détestait quand Farès était comme ça , surtout quand il ne sait pas ce qu'il dit .

Sa phrase ça m'avait fait pensé à ce qu'il m'a dit y'a quelque mois avant :

« CRÈVE DE TA PUTAIN DE MALADIE »

Ça m'avait fait mal ...extrêmement mal

J'essaye d'effacer cette période de ma tête et je regarde une nouvelle fois le plat .

Je prend deux bouchée pour essayer de faire plaisir à Farès mais au bout de la troisième j'étais vraiment à deux doigt de tout recracher .

Je décide de ne plus y toucher et tout d'un coup un pique de douleurs née au niveau de mon coeur .

J'hoquete de douleurs et je me lève en posant ma main sur mon coeur .

Putain mais c'est quoi ça ?

La douleurs était arrivé d'un coup puis il a disparu en quelque seconde . Ce genre d'action ça m'était jamais arrivé avant .

J'essaye de reprendre mon souffle et toujours ma main sur mon coeur je glisse contre le mur pour être assied par terre.

Est ce que c'était à cause de la drogue ?

Mais qu'est ce qui m'arrive ?



P.D.V Sofiane

J'étais épuisé

Fatigué

On avait passé la nuit à tiré sur l'ennemi , à sauvé l'entrepôt qui au final a pris feu , mais la marchandise n'a rien eu vu que tout était dans les camions .

Sans parlé de Djibril

Putain Djibril pourquoi t'a fait ça ?

Il est mort cette nuit , une balle perdu prise en pleine tête .

On avait tous confiance en lui , j'avais confiance en lui

Malgré que il nous l'a mis à l'envers, Djibril rester mon pote , quand j'ai eu des galères c'était toujours lui qui m'aidait . Bon après je le faisait souvent chier mais bon c'est ma manière de montrer que je l'appréciais.

En vrai ça me faisait un peu mal sa mort même si il nous l'avait mis à l'envers et il avait une famille en dehors de ça .

C'est pour ça que j'ai insisté avec Farès que Djibril soit enterré près de son oncle qui est mort il y a à peine à un ans , je savais qu'il était proche de lui .

Et puis je le faisait aussi pour sa famille , elle n'avait rien à voir dans toute cette histoire .

Il devait être 14 heure et je décide de rentrer chez moi pour prendre une bonne douche et en même temps voir ma mère et mon petit frère .

Je n'ai pas de père , enfin si j'en ai un perdu au beau milieu de la nature . Il est partit quelque année après ma naissance pour des raisons qui m'est encore inconnu .

Mais ma mère avait très mal vécu son départ , c'est pour ça que je lui en voulait et puis de toute façon je n'ai pas besoin de lui

Enfin plus maintenant

Ces conneries m'ont fait vivre l'enfer - Nesrine {EN CORRECTION}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant