Patiente D'une Mère #Nabil Al'Awadi

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Salam alaykoum wa rahmatoulah wa barakatouh.

Bismillah I rahmani I rahim.

Cette histoire nous est raconté par un chirurgien cardiologue ils nous expose les fait de la manière suivantes:

《 C'est une femme qui avait un enfant âgé d'à peine de deux ans et demi. Nous avons opéré son enfant du coeur. Deux jours après l'opération, sa santé était bonne et il commençait a reprendre des forces. Mais quelques jours après, il eut une hémorragie interne assez grave, ce qui a provoqué l'arrêt de son coeur pendant une période assez longue. Nous l'avions gardé dans un coma artificiel. Les battements du coeur ont repris très faiblement. Plusieurs médecins était a son chevet et on fait de leur mieux pour essayer de le sauver. L'un des medecins disait qu'il est possible que l'enfant soit cliniquement mort.》

Son cerveaux ne répondait plus et nous ne savions pas comment l'annoncer a sa mère. Elle était a ses côtés tout les jours. Nous Nous sommes donc décidé de lui parlé en fesant preuve de beaucoup de tact. Nous avons dû lui expliquer de la manière la plus intelligente qu'il soit. Nous lui avons fait comprendre qu'il se pourrait que son fisl ne survive pas. Elle nous a répondu:

《 Allah est le seul Guérisseur je demande a Allah de le guérir si il y a un bien dans sa guérison. 》

Telle a été sa réponse. Elle n'a rien ajouté de plus.

Nul malheur n'atteint [l'homme] que par la permission de Dieu. Et quiconque croit en Dieu, [Dieu] guide son coeur. Dieu est Omniscient.》
(SOURATE 34 Al-Tagabun VERSET 11)

C'est dans ces moments difficiles que la foi, si elle est forte, agit sur le coeur du coryant. Cette femme s'en remet à Allah totalement tout en étant très Présente pour son fisl. Apres la conversation avec les médecin, elle retourna près de son enfant, sortit de son sac le Coran et commença a lire. Elle lisait pour son enfant durant plusieurs jours. Le petit est resté dans le coma durant très longtemps.

Au bout de quelque semaine, le corps de l'enfant se mit a bouger doucement. Les médecins y ont vu un signe très positif. Mais malheureusement, deux jours après, il y eut une hémorragie plus grave que la premiere et le coeur s'arrêta de nouveau. Nous avions essayé de le réanier. Le coeur recommença a battre de nouveau mais le cerveau ne répondait toujours pas. Ce sénario se répéta six fois. Nous nous sommes résigné a dire a dire a la mère que son fisl était cliniquement mort et qu'il n'y avait aucune chance de survie. Sa seul réponse était:
《Al hamdulilah》( Louange a Allah).

Nous étions très toucher par son attitude face a cette epreuve douloureuse. Elle ne s'est pas effondrée. Elle n'a pas pleuré et n'a pas crié. Elle ne nous répétait que ses paroles:

《 Allah est le seul Guérisseur. Je demande a Allah de le guérir si il y a un bien dans sa guérison. 》

Elle mettait sa confiance en Allah comme le prophète Ibrâhîm ('Alayhi Wa Salam) dans le Coran:

《Et quand je suis malade, c'est Lui qui me guérit.》
(Sourate 26 As-Shuaraa Verset 80).

Le médecin disait qu'ils avaient réussi à arrêter l'hémorragie au bout de quelques jours. Cela était déjà positif. L'enfant quand a lui, ne bougeait pas. Il était encors dans le coma. Une autre hémorragie est survenu quelque temps après. Nous ne savions plus quoi faire, d'autant plus que nous avons constaté une inflammation au cerveau. Nous avons dit a la mère que l'état de son fisl allait en empirant. Il fut atteint d'une insuffisance rénale. A chaque fois que nous résolution un problème, un autre apparaissait. L'enfant a failli y rester de manière définitive.

La mère rester accroché a sa confiance en Allah. Cette situation dura environ quatre mois et rien ne dissuadait cette femme de venir tout les jours au chevet de son enfant pour lui lire des versets du Coran. Nous avons du pratiquer une seconde opération. Il nous a fallu ouvrir la cage thoracique de l'enfant pour évacuer le mauvais sang. La maman vouait l'état de son fisl et continuait a espérer en Allah, malgré tout.

Six mois on passé nous avons sorti le Petit de la salle de réanimation. Il ne bougeait toujours pas et ne parlais pas. Nous ne pouvions plus faire grand chose et nous avons décidé de le laisser comme cela jusqu'à ce qu'il rende vraiment l'âme. Il n'y avait plus rien a faire. Nous avions épuisé toutes les solutions et toute les ressources possibles pour le sauver. Six mois d'épreuve pour cette mère qui ne cessait de lire. Elle ne se plaignait jamais à nous. Elle s'en remmetait toujours a Dieu.
Deux mois après l'avoir sorti du bloc de réanimation, nous l'avons mis dans le service normal des enfants.

Au bout de quelque temps, l'enfant s'est mis à parler, a bouger puis a marcher et jouer comme les autres enfants. Il avait complètement guéri. Malgré que les médecins n'avaient plus de moyens pour le guérir; malgré qu'il ait etait diagnostiqué cliniquement mort et malgré le fait que son coeur se soit Arrêté six fois, sa mère elle, a toujours gardé espoir. Elle a fait preuve de sérénité et de persévérance en remmettant sans cesse le sors de son fisl entre les mains d'Allah. Le chirurgien disait:

《Je n'ai jamais oublié l'histoire de cette mère et un an après cela, elle est passé a l'hôpital avec son mari, pour faire le bilan annuel de l'enfant. Ils en on profité pour venir me saluer. J'ai demandé des nouvelles de leur fisl et ils m'ont dit que sa santé était excellente, grâce a Allah. Ils avaient avec eux un nouveau né. La femme venait daccoucher récemment . Je leur ai demandé alors combien d'enfants avaient ils. Ils m'ont repondu qu'ils n'en avaient que deux. L'enfant malade était leur premier enfant et la femme m'expliqua qu'ils avaient attendu dix sept ans avant de l'avoir.》

Cette histoire met en valeur l'une des épreuves les plus difficiles qu'un être humain puisse connaître. La relation mère enfant est un trésor inestimable. Attendre dix sept ans pour avoir un enfant qui a faillit rendre l'âme a plusieurs reprises. Elle n'a jamais perdu espoir. Cette guerison tient du miracle et quoi de plus miraculeux que la force d'amour et de foi que peux exprimer une mère envers son enfant.


Qu'Allah Nous accorde la patiente et la confiance dans les épreuves les plus difficile... Amîn

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