C H A P I T R E 2

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Petit message pour vous dire que au début du premier chapitre vous avez pus voir qu'il y aura plusieurs points de vue.

En effet mais je ne compte pas en faire beaucoup trop. Je préfère ne pas trop spoiler car j'ai envie de vraiment créé une philosophie intéressante et pas juste :

oLAlaAAa iL eST tROp dARk eT mISteRieu !!!!!!
J'AimERai TRoP qU'iL mE dEFonCe lA c-

Enfin bref bonne lecture, vous êtes géniaux :)

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Pdv T/p

Le moteur de la voiture vrombi pendant que les roues claquent sur les pavés humide.

Mes yeux livide fixe devant moi depuis bien longtemps maintenant. Des lampadaires éclaire la capitale, Paris.

Même si mon respect pour ma patrie est immense et que cette ville représente la flamme révolutionnaire de mon peuple, je ne m'y sens vraiment pas à l'aise. Comme toutes les villes en faite.

J'étais vraiment impatiente, stresser peut-être ? Pas que je doute de France ! Mais ce URSS et les communistes en général on m'a appris à m'en méfier. Qui sait ce qu'il pourrait faire ?

L'automobile s'arrête Devant notre ambassade. Les drapeaux tricolores flotte doucement, le temps est calme. Des gouttelettes ruissellent sur les vitres.

Nous sortons, les soviets me tiennent toujours fermement, même si je sens que leurs poigne c'est affaibli. Qui pourrait leurs en vouloir ? Le temps est merdique et nous n'avons presque pas dormi.

Enfin moi si mais que voulez-vous que je fasse d'autres ? Tapé la discute ?!

Bon, je deviens folle je commence à me parler à moi même...

Nous commençons à avancer sous un profond silence. Les gardes nous acceuille.

Nous traversons des couloirs que je ne connais que trop bien et passons dans la salle commune.

Je croise le regard de mes compagnons, mes amis me regarde avec une immense pitié et les autres avec compassion.

Je leurs souri, j'ai confiance. J'ai confiance en mon pays. J'ai confiance en ma patrie. J'ai confiance en mon père...

Nous avançons toujours guidé par les soldats. Une fois arrivé à destination on s'arrête. Je vois Le Rouge se retourner, il nous fait enfin face.

Son regard est lourd même si il ne daigne pas me regarder je détourne le regard. Il fixe ses soldats et leurs dit :

URSS : - Attendez ici.

Soldats rouge : - Bien.

Il me relâche enfin. URSS toques à la porte et attends. Au bout de quelques secondes il se retourne et me regarde

Je le fixe un moment ne comprenant pas pourquoi il faisait ça. Mais pour être honnête également pour ses yeux, les CountryHumans ont des yeux vraiment ... Étrange ?

Au bout d'un instant je comprends qu'il "m'invite" à avancer. Je m'exécute et les bruits du bois grinçant ce fait entendre de l'autre côté de la porte.

Puis la porte s'ouvre et nous voyons un soldat nous demandant d'entrée. Nous rentrons dans la pièce et nous entendons une voix dire :

France : - Vous pouvez sortir.

Les soldats sortent du bureau nous laissant avec France. Il nous invite à nous asseoir ce que nous faisons.

Je suis heureuse de retrouver ma patrie. Je l'observe pendant un instant et quelque chose me glace le sang.

Son regard. Je comprenais à son regard qu'il... qu'il ne me sauverai pas.

Mon-mon père celui qui ma receullit, celui qui m'a élevé. Ne me sauvera pas. Il va me laisser tomber. Il va m'abandonner. Seul. À leur merci.

Je n'écoute rien de l'entretien, j'en connais déjà l'issue. Et elle me terrifie, du moins c'est ce que je pensais au début. Maintenant elle me laisse juste vide.

Comme sous le choque, je ne réalise pas ce qui se passe mais je reste tout de même réaliste. Je suis condamné.

Je suis directement sortie de mes pensées lorsque le poing d'URSS frappe la table.

URSS : - Monsieur, avec tous le respect que je vous dois j'aimerais savoir pourquoi vous prenez cette affaire à la légère. C'est un motif pour lancer une attaque. Vous le savez bien ?

Il dit ça avec un air stricte et calme comme d'habitude, ce qui dénote avec son geste d'avant. Mais l'autre chose qui change c'est ...

MAIS il parle français ?! Ça pour une surprise... Mais France à une bonne raison de m'abandonner, l'histoire pourrai s'ébruiter.

France : - Mon cher... Pensez vous vraiment que je vais abandonner un compatriote ?

Question rhétorique. Mais poings se resserre, je crispe mes muscles et baisse le regard. C'est ma fin.

Les deux reprennent leurs discussion, les deux camps montent le tons.

D'un coup sans prévenir le rouge pose sa main sur mon épaule et se lève. Je relève ma tête, intriguée.

URSS : - Nous y allons. Au-revoir Mr.France.

Nous ? Nous y allons ? Moi et lui ? Non, il ne parle sûrement pas de moi ! Je ferai mieux de ne pas me lèver. Mais sa main.

Je me lève donc avec beaucoup de mal adresse et fixe un instant France, non, mon père, celui qui ma receullit.

Je cherche dans son regard du regret, de la tristesse, quelques choses putain mais rien ! Rien pour moi ! Pas même une brieve de sentiments.

Je me me retourne et me retourne pour rejoindre l'autre connard, qui me suis dans mon élan.

Nous sortons du bureau, les gardes n'était plus là depuis un moment sans doute.

Je marche devant lui. Je sens mes émotions débordé. Mes pas s'accélèrent jusqu'à devenir une course.

Au début j'entends ses pas, il doit essayer de me suivre. Mais au bout d'un moment il s'arrête.

Je sors par une petite porte dérobée et m'assois sur les marches.

Je ne pleure pas, je suis juste sous le choque.

Je me perds dans mes pensées mais en suis très vite sortie, par une main me tendant quelque chose.

J'essuie mes yeux embrumés et vois...

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⏰ Last updated: May 07, 2022 ⏰

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URSS x readerWhere stories live. Discover now