Aime moi si tu peux.. [La Meute d'Élvéa] T1

La Chasse

Point de vue inconnu

Voilà plusieurs semaines que je le poursuis  je suis ses moindres faits et geste je le traques et il ne c'est aperçu de rien

Pourtant là où la lumière règne je suis bien là tapis dans l'ombre

Je connais à présent tout de lui son travail ses habitudes ce qu'il aime où ce qu'il n'aime pas les penchants les plus sombres qui l'anime à présent je sais tout ce qui constitue sa vie et son existence, comme on lit un livre ouvert j'en connais tous les secrets

Et il ne ce doute pas une seule seconde que dans quelques instants sa vie risque de bascule

Comment moi je le sais ?

Par ce que je suis la personne qui changera à tout jamais sa vie reste à savoir maintenant si il pourra avoir la vie sauve..

Nous sommes vendredi et tous les Vendredis soirs il simule une réunion hebdomadaire auprès de sa femme .

Mais en réalité c'est faux aucune réunion ne ce fait elle sert simplement de couverture.
Il est dix-neuf heures trente les locaux sont vides il ne reste plus que lui comme chaque vendredi il attend une demi heure pour appeler sa femme en prétextant que la réunion va bientôt commencer et qu'il a hâte de rentrer auprès d'elle

Puis à vingt heures il se dirige vers le parking pour prendre sa voiture et se rendre là où il va tous les vendredis soirs.

Sauf ce soir sa destination sera bientôt différente mais ça il ne le sais pas encore, mais il va bientôt le découvrir..

Je suis sûr qu'il n'y as plus personne j'ai déjà fait le tour du périmètre pour m'assurer de ne pas être déranger .

Comme prévue à dix-neuf quarante il appelle sa femme . Une fois l'appel finit il range ses affaires et s'apprête à partir sans savoir que je m'apprête à rentrer dans sa vie

Je coupe le courant pour le plonger dans le noir puis quand la lumière se rallume je suis désormais à l'intérieur de son bureau mais lui ne le sais toujours pas .

Il pense à une légère panne de courant sans savoir que cette panne a était programmer par mes soins dans un temps bien précis.

Assis sur sa chaise il s'apprête à se lever quand toujours tapis dans l'ombre de son bureau je lui dit :

« Je ne ferais pas ça si j'étais toi je resterais bien assis sagement »

La voix paniquée il c'était empressé de me dire :

« Qui êtes vous ! Qui est là ! Je vais appeler la sécurité si vous ne sortez pas immédiatement vous êtes dans des locaux privés et.. »

S'en était déjà trop il parler bien trop à mon goût et puis il m'avait désobéit il c'était lever pour partir

Alors j'avais empoigner un de mes poignards et l'avait lancer dans sa main droite qui se trouver sur le bureau.

Le poignard transperçait maintenant sa main ainsi que le bureau ce qui le rendait prisonnier

Et ce qui lui arracha un effroyable cri de douleur

Je l'avais pourtant bien prévenu de ne pas bouger j'espère que la prochaine indication il m'écoutera si il tient à ses membres

Après avoir hurler comme un animal blessé il avait commencer les supplications

Lassé de l'entendre geindre j'avais avancer sortant de l'ombre de son bureau il hoquetas de surprise mélanger à une vive peur