A broken promise

Unique Partie

Il avait promis... Il avait promis de ne pas l'abandonner, de ne pas le laisser. Mais après tout as quoi pensait-il ? Que justement puisque il n'avait pas peur des « ténèbres » il n'allait pas le laisser tomber, l'abandonner que ces mêmes ténèbres n'allaient pas lui l'enlever d'elles-mêmes ? Pourtant He Tian faisait partie de ces genss qui en avaient beaucoup vu pour savoir que la vie n'est pas un long fleuve paisible. Il savait tout ça, il le savait et pourtant il s'était laissé avoir. Certes lorsqu'il était petit, il avait déjà flirté avec la connaissance de ce que pouvait provoquer une perte mais ce sentiment n'était rien comparé à ce qu'il ressentait maintenant.

De l'extérieur il paraissait vide comme si toute once de vie avait déserté son corps ainsi que son visage. Mais intérieurement au niveau de son cœur sa poitrine tenir un tout autre discours. Tristesse et perte, désolation et désespoir, mais surtout, par-dessus toutes ces émotions, régnaient le chaos, une colère d'une noirceur à en épouvantailler le diable ainsi qu'une immense envie de vengeance

Oh que oui il allait vuter ces enfoirés qui lui avaient retiré sa précieuse lumière, les pires tortures seraient utilisées sur eux. Car ils devaient payer pour leurs crimes des plus odieux ! Avoir osé tuer son petit Mo, il fallait porter ses couilles pour faire ça. Mais ils s'en étaient pris à la mauvaise personne et ils allaient payer  cet affront de leur chair et de leur sang.

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Au fur et à mesure qu'He Tian enfonça it son couteau dans la peau de ces sous-merdes, il revoyait le début de leur relation : son petit MO se de battant contre lui alors qu'il ne le touchait à peine. Puis ces légers rougissements sur ses pommettes parsemées de taches de rousseur, qui devenaient de plus en plus foncées avec le temps. Son sourire qui était également apparu plus fréquemment ; fruit de tous ses efforts pour que Guan Shan se sente à l'aise en sa présence. Puis enfin son visage si érotique quans il le prenait dans leur appartement (toutes les pièces avaient été baptisés par leurs gémissements). Ce visage rare, ce visage d'abandon au plaisir et à lui, ce visage où il montrait ouvertement son amour, ce visage que seul lui connaissait avait tout simplement disparu... Toutes ces pertes le faisait tellement souffrir.

Le sang guclait de partout, les vêtements autrefois propres étaient maintenant couverts de rouge, la pièce revêtait la même couleur. Les cadavres étendus sur le sol ressemblaient plus ou moins à du gruyère au vu des trous béantes qui apparaissaient.
Et au milieu de ce carnage se tenait, He Tian, le tête penchée en arrière, les larmes ruisselant sur ses joues, dévasté, brisé. Son petit Mo était tout ce qu'il avait, voulait... Il regardait avec désarroi le couteau qu'il tenait dans sa main, comme si ce dernier possédait les réponses à ses questions.
Devait-il continuer à vivre pour son chaton ? Ou bien se suicider dans l'espoir de le rejoindre ? Non certainement pas. Mo Guan Shan avait  peut-être été turbulent lors de sa jeunesse mais rien d'alarmant alord que lui, lui avait tué et pas qu'une fois, commis des vices incroyablement tortueux pour arriver à ses fins. Donc c'était évident que l'enfer lui était destiné contrairement à Mo où le paradis l'attendait les bras grands ouverts.
Secrètement il espérait que la religion soit homophobe pour qu'ils puissent se revoir en enfer... Quel égoïsme faisait-il dont preuve. Jusqu'au bout il l'aura été. Un rire nerveux résonna dans la pièce où la mort était maîtresse des lieux
Et aussi simple que dissiquer une olive, le couteau s'enfonçât dans le ventre d'He Tian, ayant trois mots et un nom aux lèvres  « Je t'aime Mo Guan Shan».
Puis les ténèbres l'enveloppèrent.

Paradis, nuage 96

Une tête rousse regardait les plantes de la serre dans laquelle il se trouvait, pour faire simple il se faisait chier plutôt le temps ne lui avait jamais paru aussi long. Putain de bite de poulet.. Tu me manques saloperie , jurait-il dans sa tête.
Un picotement au niveau de son épiderme l'énerva d'autant plus. Il se retourna prêt à envoyer chier l'enfoiré qui venait l'emmerder dans sa solitude non-paisible-car-il-n'y-a-pas-He-Tian,mais tout le flot d'insultes qui se bousculaient au bord de ses lèvres s'arrêta net en découvrant l'enfoiré en question : son merdeux de mari, sa bite de poulet, He trou d'uc aka He Tian. Il était sous le choc, les questions émergaient dans a tête à  vitesse folle mais surtout une paix qu'il pensait ne jamais connaître même avec la mort s'installa en lui.
Sans aucun mots les deux se rapprochèrent, comme si c'était la première fois qu'ils se voyaient, chacun détaillant le visage de l'autre pour se rassurer que c'était leur moitié et pas un bâtard qui y ressemblait trop.
Leurs mains se posèrent sur leurs joues respectives, le frottement résonna dans la petit serre de la déprime de Mo. Chacun d'eux ouvrit la bouche mais aucun son n'en sortait comme si le premier mot qui allait être prononcé briserait leur bulle “d'illusions”. Au bout de plusieurs minutes à se fixez dans le blanc des yeux, le brun prit la parole vace son fameux sourire narquois :

— Et bien alors, j'ai même pas le droit à un baiser, chéri ?

— Et pourquoi je devrais t'embrasser alord que tu ne devrais pas être là ?

— Toi non plus...murmura-t-il. Parce que je t'ai manqué petit Mo et n'essaie pas de me contredire ! en voyant le roux ouvrir la bouche pour nier. Mais ne t'inquiète pas toi aussi tu m'as énormément manqué, j'ai cru j'avais trou dans la poitrine, tu sais ? Comment as-tu réussi ça ?

— C-comment ça ? balbultia-t-il, le rouge aux joues.

— Comment as tu réussi à me faire t'aimer autant, hein ? Comment as-tu réussi à faire ce tour qui relève de la magie des plus sombres, chaton ?

Le chaton en question rougit face à ces aveux plus qu'inattendus et à cette vulnérabilité toute aussi surprenante, il bégaya ces quelques mots :

— Co-commment le saurais-je ? Je voulais jus-humph !

Il fut coupé par un baiser langoureux, un de ces baisers qu'He Tian savait parfaitement faire et qui lui plaisait tant.
He Tian n'avait plus su se contenir lorsqu'il avait aperçu son amant bredouille des mots en rougissant : une des expressions qui lui avait le plus manquée certainement. Leur baiser avait un goût de nostalgie, d'empressement et d'amour. Il était sauvage, défait, plein d'engouement et d'érotisme. Leurs langues s'enroulaient autour de l'autre dans une telle harmonie qu'on croirait avoir trouvé la combinaison parfaite, comme si le Yin retrouvait son Yang après avoir parcouru un long couloir sombre. Ils séparèrent leur bouche voulant découvrir le corps de leur compagnon avec plus de précision. Les mains passant sous l'espèce de toile qu'on nous donnait lorsqu'on arrivait là-haut, puis s'égarant plus en bas pour He Tian tandis que celles du roux se perdirent dans les cheveux du noiraud. Ils se fixèrent un regard gris brûlant face aux yeux ambrés fiévreux.

— Vraiment pourquoi tu es là, aussi tôt...
— Je te l'ai dit non ? On est ensemble, pour toujours, si tu vas quelque part je te suis. Même dans la mort, d'accord?
— Mais tu aurais pu vivre..
— Petit Mo.
—...atteindre tes rêves...
— Mo Guan Shan...
—...fonder une famille et...
— MO GUAN SHAN !

Le roux s'arrête net dans ses phrases qu'il ne pensait point.

— Mon cher petit Mo premièrement arrête de débiter des conneries ensuite ne sais-tu pas qu'une vie sans toi ne vaut plus la peine d'être vécue ? Ne sais-tu pas que tu fais partie de tous les rêves que je veux réaliser ? Et enfin si jamais, je dis bien si, l'envie folle d'avoir un gosse me prenait j'achèterais un poupon ou on en adopterait un ensemble, okay? Tout ça pour dire que sans toi je ne peux pas avancer, rien faire, finit-il dans un souffle tout en prenant son amoureux dans ses bras le voyant pleurer. Shhh, ça va aller bébé, ça va aller.

  La scène avait un air de déjà-vu, sauf que là Mo acceptait pleinement les baisers d'He Tian sur ses joues mouillées. La tête rousse se colla un peu plus à son copain mais sentit une tente au niveau de son entrejambe. Des interrogations dans les yeux. Un regard ardent en réponse. Et il comprit, toute la retenue accumulée partie, fondue comme neige au soleil. Les peaux furent mises à nu, les corps brûlants se rencontrèrent et ne firent plus qu'un. Des sons indécents se firent entendre dans le petit pacio, des gémissements, des grognements, et les peaux claquant l'une contre l'autre.
He Tian revit le visage rempli de larme de plaisir sur son chéri et il sût, il sût qu'il était au bon endroit au septième ciel.

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Coucou, ça fait longtemps, je fais de nombreuses promesses que je ne tiens jamais (soyons réalistes mes amis) je traînais sur mon ordi pour avoir de l'inspi oui c'est long pour la trouver presque autant que le One Piece 😂.

Brefouille voici un OS que j'ai écrit il y a un moment de cela donc je me suis dit pourquoi pas le poster. Il date donc la qualité n'est pas ouf j'ai essayé de faire des arrangements, vous me direz tout.

Je vous embrasse mes mouches <3
En espérant à bientôt !

Envirion 1475 mots.