[CINQUANTE-HUIT]

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𝐄𝐍𝐀𝐌𝐎𝐑𝐀𝐑𝐒𝐄

〄 AYA ZOUAOUI PELIDRIO Août 2018

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AYA ZOUAOUI PELIDRIO
Août 2018





Contenu explicite en ce début de chapitre





Je me déhanche au rythme du nouveau son que les garçons ont sortis début août, la musique à fond dans notre appartement, un maillot Nabil sur les épaules et une simple culotte pour faire un peu de rangement, l'appartement est clean mais le fait d'être maniaque m'oblige à faire du rangement tous les jours.

Je bouge mes hanches et je regarde mon chaton qui s'amuse avec l'un de ses jouets, je tape dedans avec mon pied et elle court comme une folle, elle dérape contre le sol et revient à la charge sur sa proie. Je pouffe de rire et je reprend ma petite danse en souriant, je lève les mains en me mettant légèrement sur la pointe des pieds pour passer un coup de chiffon sur l'écran de la télé, histoire de la dépoussiérer.

Je sursaute en sentant deux bras musclés saisir mes hanches fermement, le corps brûlant de Nabil contre le mien, je devine presque rapidement que son maillot a déjà quitté son corps une fois la porte de l'immeuble franchi et son footing terminé, son souffle court et son visage se retrouve contre mon cou.


Nabil - Tu viens avec moi à la douche.

Aya - Nabil j-

Nabil - C'était pas une question. Il m'entraîne sur quelques mètres dans ses bras, je me tourne vers lui et il pose ses lèvres sur les miennes, je glisse mes bras autour de son cou pour les posés sur les muscles de ses épaules contractés.



Mon dos se retrouve plaquer contre le mur de la douche, le corps de Nabil toujours collé au mien mais cette fois-ci, sans plus aucuns vêtements sur nos corps. On s'embrasse avec une certaine fougue, nos langues sont en duels l'une face à l'autre et croyez moi qu'il y a rien de sensuelle dans ce baiser. Je passe mes mains sur ses abdos pour les remonter sur son torse jusqu'à sa nuque, sa main à lui a empoigner mes cheveux et les as enrouler autour de son poing, je détache ses cheveux et je balance son élastique plus loin dans la douche.

Nabil éteint l'eau qui était en marche juste pour nous arroser et embêter plus que autre chose, la buée envahit la pièce entière, la chaleur dans la pièce est insoutenable, encore plus entre nos deux corps. La langue et les lèvres de mon copain s'affairent au niveau de mon piercing au téton toujours mes cheveux enroulés autour de son poing, je soupire en le regardant faire, complètement coincé entre son corps et contre le mur, il tire légèrement sur mes cheveux et ma tête bascule en arrière, je lâche un soupire. J'agrippe ses épaules avec mes mains, je le regarde à nouveau et l'envie de prendre un peu les devants me prend d'un coup.

Enamorarse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant