Chapitre 4

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Concentre toi sur ton personnage Amber.

- Je ne sais pas se qui se passe entre vous deux, mais je n'aime vraiment pas cela Mita

- Tais-toi je ne t'ai pas parler

- Comme tu le voudras,fais juste attention

- De quoi tu parles?

Je me suis retournée sans lui répondre. J'étais à deux cheveux de l'égorger et je sais que j'en suis capable. Je dois me contrôler.

Je me mets à marcher dans l'école sans avoir une destination précise. Sans savoir comment, je me retrouve à terre, je pense que j'ai bousculer une personne. Eh merde, c'est Maxime.

- Je m'excuse, est-ce que sa va?

- Heum... oui

- Amber?!

- Comment t'as sû que c'était moi?

- Je ne suis pas stupide

- Ne dis surtout pas que je suis à l'école déguiser à qui que se soit

- À une condition

Je ne voulais pas m'attirer plus de problème que sa. Alors, je lui fais signe de continuer.

- Premièrement, tu n'utiliseras pas de violence sur moi et deuxièment, il y a un travaille en math que j'ai beaucoup de difficulter et je sais que tu es vraiment intelligente, je veux juste ton aide

- Tu peux pas demander à un professeur de t'aider, c'est juste un devoir

- C'est pas un simple devoir que je dois remettre le lendemain, il me permettera d'avoir une bourse à mon cégèp de choix.

- Ok. Mais ne t'imagine pas que je fais sa par gentillesse

- Aussi, je me demandais si on pouvais le faire chez toi genre maintenant, c'est pour demain

- T'es sérieux là, tu fais tout à la dernière minute ou quoi?!

- Désoler

Je le dévisage et prend mon cellulaire pour appeler mon majord'homme pour venir nous chercher. On commence à sortir de l'école pour attendre ma voiture et 10 minutes plus tard il arriva. Après 1h de route on arriva dans ma maison. Maxime reste bouche-bée en voyant la grosseure de ma maison. On s'entends que j'ai une maison à 3 étages et des pièces très grande.

- Reste pas planter là, suit moi

On se dirige vers ma salle de travail, pour commencer son stupide devoir de math. Je m'assis devant mon bureau et présente une chaise libre à côter de moi à Maxime.

En s'asseyant, il s'est frappé le genou sur le coin de mon bureau . Je veux bien sourire, mais je me retient. Je ne peux pas baisser ma garde aussi facilement, c'est ce que mon père me dit toujours. En ouvrant son sac, ses cahiers et ses crayons tombent. Je suis très surprise, je me demande si il est stressé ou si il est juste maladroit de nature. En regardant son visage, je me mets à rire comme une folle. Je ne peux plus me retenir, la face qu'il a fait.

- Pourquoi tu ris comme sa?

- Ahaha ! Je ne pensais pas que t'étais une personne stressé...ahaha... Puis t'aurais vu ta face

- Toi aussi, tout le monde dit que t'es sauvage, que t'as tué du monde et que tu es vraiment pas sociable, mais t'as plutot l'air très gentille et amusante

- Mais ce n'est pas de ma faute. C'est juste que je ne peux pas suporter le monde qui on un air supérieur à moi

- Alors je ne crois pas qu'on aura des problèmes si on traîne ensemble de temps en temps

Une vie pas comme les autresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant