Enfants spéciaux ☆cinq x reader☆

🔮Chapitre 11🔮

Tu t'es concentrée sur le souvenir on sait jamais, mais non c'était bien toi, bébé toi plutôt. Tu jouais dans ton jardin, tu tenais quelque chose, qui un jour, avait du resembler à un ours en peluche. Seulement vu son état il avait dut être trainé sans scrupule dans l'herbe, le sable, la terre par un petit monstre du nom d'Alice. 

T'es restée arrêtée sur ce souvenir, il continuait. Bébé toi avançait vers la directrice, elle était assise à une table avec ta mère. Un sentiment de fierté mais aussi de haine palpable se mêlait dans le regard que te lançait la directrice. Comment peut-on ressentir cela envers un bébé ?! 

Soudain quelque chose d'imprévu se passa dans le souvenir, le bébé haut de trois pomme que tu étais à fixé intensément le regard de la directrice. Soudain tout te sembla familier, les vieux souvenirs, le mental de la directrice, ses émotions. Toutes ces choses que l'on est sensé ignorer d'une personne. Tout en essayant de comprendre ce qu'il se passait dans le souvenir, tu avais lâché le maintient de la directrice. 

Elle t'as frappé, en tombant tu t'es accrochée tellement fort à ce souvenir qu'il s'est incrusté dans ta mémoire. T'es tombée dans la spirale d'eau de Shay, tu l'as brisée. La directrice a rapidement repris ces esprits. T'as regarder autour de toi de peur que la directrice n'incrimine les autres pour ton idée. Mais il n'y avait personne, du moins de visible...

-Alice Rosebury !!!

T'as sentie comme des mains se poser sur ton coup puis te soulever dans l'air, la directrice était entrain de t'étrangler. Les mains se resserraient de plus en plus leur emprise sur toi.

-Que croyais-tu faire comme ça, avoir des 'réponses' ? Tu ressembles trop a ta chère petite maman, toujours a fouiner ! Tu sais je l'avais presque oubliée cette histoire, jusqu'à ce que tu apparaisses dans le pensionnat.

Cette fois s'en était assez, t'as réussi a te libérer de la directrice.

-DITES MOI LA VÉRITÉ JE VEUX SAVOIR !! J'AI ATTENDU BIEN TROP DE TEMPS COMME ÇA !

-Tout viens à point à qui sait attendre Alice.

-VOUS AVEZ TUÉ MES PARENTS ! ET VOUS VOULEZ ME DEMANDER D'ÊTRE PATIENTE !

-Arrête voir ton cirque deux minutes s'il te plait, je n'ai tuer personne du moins de mes propres mains... Bon ça a assez durer, venez la cherchez, amenez la en service des détenus.

T'as senti quelqu'un t'appuyer un chiffon sur ta bouche, tu t'es endormie...

Lorsque tu t'es réveillée tu n'étais pas dans ta chambre, tu n'avais plus ton téléphone et tu étais habillée en chemise d'hôpital. 

Tu te trouves actuellement dans une petite pièce, sans couleur ni fenêtre, la seul chose qui se trouve dans cette pièce c'est le lit sur lequel tu es assises. Il se trouve juste enface d'une porte, une porte avec un petit oeillet. Tu t'es levée pour aller voir, le sol était d'une froideur extrême, ils connaissent pas le chauffage ici ? Malgrès le fait que tu ne sentais plus tes pieds à cause du sol t'as pu entrevoir ce qu'il y avait en-dehors de ta chambre.

C'était une simple allée, en face de la porte il y avait d'autre porte, beaucoup d'autre porte. Mais il n'y avait personne, personne jusqu'à ce qu'un homme apparaisse dans le couloir. Il toquait à toutes les portes, dont la tienne. Il l'a ouverte et t'as  suivi les autres. Qu'est ce que c'était que ce bordel ? Où vont-ils tous comme ça ? Pourquoi t'as passé d'un pensionnat de luxe à un vieil hôpital psychiatrique  miteux ? T'as interrogé une fille.

-Euh on va où ?

-Au diner, t'es nouvelle n'est-ce pas ? Un petit conseil, n'essaye jamais de faire quoi que ce soit pout t'enfuir. Ils te tueront, ils n'ont pas de scrupule. Ne parle à personne de qui tu-es, ne leur dévoile rien de toi. Même pas ton nom. J'espère que tu survivras !

T'as bien essayé de la retrouver mais impossible vous avez tous les mêmes chemises. T' as fini par arriver à la cantine. Tout était gris, à croire qu'ils ne connaissaient vraiment pas les couleurs ! 

Trêve de plaisanterie ça te fait vraiment flippé tout ça. Pourquoi la directrice t'as envoyé dans un endroit pareil. Il faut que tu puisses contacter quelqu'un. Mais comment ? Tu ne pouvais plus rien faire ! Tu n'étais même pas sûre que quiconque ici aie des pouvoirs. Espérons que James Shaya et Cinq se rendront compte de ta disparition !

Ils s'en sont peut-être rendu compte, mais ils ne sont jamais venu te chercher, cela faisait maintenant deux mois que tu croupissais ici, tu avais perdu tout espoir qu'un jour on vienne te sortir de là. Deux mois, deux mois que tu mangeais la nourriture degeulasse, que tu te faisais attaqué par les dingues, que tu étais hantée par d'horrible cauchemars. Tu savais que cela faisait deux moi car tu faisais comme les prisonniers, tu traçais une petite croix à chaque jour. Tu étais morose, irritée, rongée par l'injustice. Tu ne dormais pas beaucoup la nuit et la journée tu restais assise à fixé le mur. Les seuls moments où tu sortais de ta chambre c'était pour les repas. Tu avais bien entendu essayer de t'enfuir, mais tout tes hématomes témoignent de ta défaite.

Cet endroit, c'est de la torture. Les gens sont violents, pour la plupart uniquement des ombres d'eux même. Parfois la directrice, pendant les heures de diner, accompagné quelque fois par la conseillère venaient. Tu ne savais pas ce qu'elles venait faire ici. Si seulement tout le monde pouvait savoir à quel pint la directrice est une ordure. La conseillère ne mérite pas meilleure estime non plus, elle était la meilleure amie de ta mère mais elle te laissait croupir ici. Elle ne te regardait même pas. 

Aujourd'huis, pour les deux mois de ton enferment ici tu allais manger comme d'habitude cette horrible purée et ces boissons ignoble. Ensuite il fallait avaler ces bonbons. Tu t'étais habituée à le faire docilement.  En rentrant vers ta chambre tu as été prise dans une bagarre, c'était monnaie courante ici. Tu saignais lorsque tu est rentrée dans ta chambre.

Tu t'es laisser tomber sur ton lit, le nez en sang, les os brisé et l'âme mélancolique. Attendant patiemment la mort...

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